2619100-master

L’édification de la civilisation mondiale envisagée par Bahá’u’lláh ne peut se faire grâce aux efforts dispersés d’individus, aussi dévoués et bien intentionnés soient-ils. Une communauté, unifiée dans ses pensées et ses actions, doit naître, grandir et gagner en vitalité.

Chaque bahá’í se considère à la fois comme un membre d’une communauté locale, nationale et mondiale d’adhérents. Tous les efforts sont faits pour que, à chacun de ces niveaux, les communautés restent dynamiques et ouvertes à tous; un grand soin est pris pour éviter les écueils de l’exclusivité. ‘Abdu’l-Bahá nous conseille:

Ne considérez plus les hommes comme des étrangers mais comme des amis, car l'amour et l'unité s'avèrent difficiles quand vous fixez votre regard sur la différence.

'Abdu'l-Bahá

Membres des Assemblées spirituelles nationale du monde entier, délégués à la première Convention internationale bahá’í à Haïfa en Israël pour l’élection de la première Maison universelle de justice en mai 1963. Les délégués sont devant le bâtiment des archives internationales. 

La communauté bahá’íe a vu le jour progressivement - de la poignée qui a entendu pour la première fois le message du Báb, au groupe enthousiaste d’adeptes de Bahá’u’lláh dans les villes et villages de la Perse du XIXème siècle, jusqu’à une communauté mondiale de millions aujourd’hui, avec des membres dans plus de 100 000 localités dans pratiquement tous les pays et territoires du monde.

Vidéo : Un cercle grandissant

Aux quatre coins de la planète, les disciples de Bahá’u’lláh et leurs amis s’efforcent de tout cœur de contribuer au bien-être de leur communauté et au progrès de la société. Un cercle grandissant capitalise sur les expériences et les aperçus tirés d’un certain nombre de quartiers et de villages, en milieu tant urbain que rural. Un processus de construction de communautés vibrantes s’y déroule, à travers l’action individuelle et collective propulsée par un engagement à apprendre comment « traduire en réalité et en actes ce qui a été écrit », selon les mots de Bahá’u’lláh lui-même.